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Lorsque vous posez un caméléon sur du tissu écossais, il vous fait un bras d'honneur

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Lorsque vous posez un caméléon sur du tissu écossais, il vous fait un bras d'honneur
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30 juillet 2006

Les crânes de cristal mayas

Une légende s’est transmise depuis très longtemps en Amérique centrale. Les Mayas et les Aztèques croyaient que le monde avait déjà été détruit quatre fois et que nous vivions sous le cinquième soleil.

Des géants vivaient sous le premier soleil, qui fut détruit par l’eau. Sous le second soleil, le serpent du vent détruisit la terre et les hommes furent transformés en singes, seul un homme et une femme furent sauvés. Le troisième soleil fut détruit par le feu du ciel [météorite], les hommes de cette époque ont mangé un fruit… Lors du quatrième soleil, les hommes moururent de faim à cause d’un déluge de feu et de sang. Le cinquième devrait sa fin au fait que la terre se mettra en mouvement et toute vie disparaîtra [possible inversion du magnétisme terrestre].
Vous avez peut-être entendu parler du calendrier maya. Il démarre le 13 août, 3 114 avant notre ère, et se termine le 21 décembre 2012. Il est en relation avec Vénus. Sur des manuscrits, appelés codex, les scribes ont noté plusieurs « prophéties », dont les éclipses solaires. Ils sont réputés comme étant de fameux astronomes.

Il existerait 13 crânes de cristal qui viendraient d’un temps où les hommes vivaient sur douze planètes. Ces hommes les donnèrent aux hommes de la terre. Les descendants d’Atlantide les auraient transmis aux Mayas. Ces crânes auraient le pouvoir, s’ils étaient réunis, de nous révéler toutes nos origines et nous aidaient à éviter une future catastrophe. Les prêtres les faisaient parler, car les mâchoires s’articulent ; on suppose que ce spourrait être des ordinateurs super-puissants ?

Ce qui est étonnant est que l’on a réalisé plusieurs tests sur un de ces crânes. Ceux réalisés par les laboratoires de Hewlett Packard sur ce fameux crâne d’Anna Mitchell-Hedges ont fait l’objet d’un rapport que l’on peut résumer ainsi : « Nos scientifiques ne peuvent expliquer comment de tels objets auraient pu être sculptés par des civilisations anciennes sans nos outils d’aujourd’hui ». Selon les experts de Hewlett Packard, il aurait fallu un an avec des outils modernes pour sculpter le crâne d’Anna Mitchell-Hedges, et même avec nos outils, une pièce aussi fragile gravée si précisément se serait brisée sous les effets des vibrations et de la chaleur.

Cela pourrait donc accréditer cette légende. Il faut tout de même savoir qu’un commerce de crânes en cristal existe depuis la fin du 19e siècle et que bon nombre de crânes qui sont sur le marché sont des reproductions. Alors, légende ou pas ?

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30 juillet 2006

Mythe des mayas: la civilsation évaporée...

Le Machu Picchu

Les Mayas furent une grande et puissante civilisation, qui avait disparu lorsque les conquistadors arrivèrent, pour ne pas être remplacée. La question qui se pose souvent aujourd'hui, c'est de savoir pourquoi cette civilisation a disparu... Mais étudions d'abord son histoire :

L'ancien empire

Les origines des tribus mayas les plus anciennes se perdent dans la nuit des temps. Nul ne se souvient de l'endroit d'où ils viennent. Nous ne nous intéresserons ici qu'aux Mayas du Yacutan, et non à ceux qui vécurent plus au sud, et qui avaient déjà disparu lorsque les grandes cités mayas attinrent leur apogée.

Les Mayas vécurent d'abord sur la côte atlantique, au nord du Yucatan, pui finirent par émigrer vers le sud et se divisèrent. Seuls ceux qui s'installèrent au Yucatan parvinrent à atteindre la puissance d'une grande civilisation.

Au commencement de la période historique, ils vivaient dans un triangle délimité par Palenque, dans le Chiapas, Uaxactun, au Guatemala, et Copan, au Honduras, où les communications et les déplacements étaient très difficiles car entrecoupés de rivières et de profondes vallées. Il n'y a pas de trace écrite de cette époque, si ce n'est quelques stèles que les Mayas érigeaient avec une certaine périodicité, généralement à la fin de chaque Katun, période cyclique de 20 ans. Ces dates prenaient leur source en 3113 avant J-C, et ils utilisaient des unités de temps plus importantes telles que le Baktun, période cyclique comprenant 20 Katun (c'est à dire 400 années Mayas, correspondant à 394 de nos années).

Les premières dates historiques et non mythiques que l'on connaisse sont celles du huitième Baktun, et elles deviennent particulièrement nombreuses au cours du neuvième Baktun, pour diminuer ensuite et disparaître sur les sculptures au cours de cette période. En mettant en relation les calendriers Mayas et Chrétiens, On a pu déchiffrer de nombreuses dates inscrites sur les linteaux, les escaliers et les temples.

Les dates les plus anciennes relevées sont de 330 après JC.

Des centres urbains jaillirent petit à petit à Balakabal, dans le Peten, Campeche en 405, Uolantun en 409, Tikal en 416, Copan en 465, Oxkintok en 472, etc... Au VIe siècle les centres importants de l'Usumacinta commencent leur expansion historique. Un siècle plus tard commence l'âge d'or de l'Ancien Empire : de 633 à 830, dans la seconde moitié du 9 ème Baktun, on sculpte les stèles les plus belles, les linteaux les plus fins, on érige de somptueux édifices et on constuit les escaliers les plus artistiques. Au cours de ce siècle Palenque devient la Mecque religieuse par excellence : son architecture ne sera jamais surpassée, ses stucs gravés de scènes historiques resteront des chefs d'oeuvres impérissables, tandis qu'au point de vue intellectuel et, particulièrement dans le domaine de l'astronomie, elle surpassera les autres cités mayas. Un siècle plus tard, Copan prendra à Palenque cette place, pour décliner au début du IXe siècle et s'effondrer définitivement. Quiriqua brillera cependant encore quelque temps, survivant aux cités mayas les plus tardives du Peten.

Mais déjà, au milieu du IXe siècle, les dates mayas commencent à se faire moins nombreuses et à disparaître. Alors, comme on l'affirme de façon lapidaire, "la solitude et le silence se firent dans les cités mayas". Les migrations vers le Yucatan s'intensifièrent et les mouvements de population emportèrent des groupes et en fixèrent d'autres, mais quoiqu'il en soit on commença (espace) à noter un déclin dans l'art.

Diverses hypothèses ont prétendu expliquer l'abandon des cités mayas du sud : des changements de climat, des fièvres et des épidémies, des problèmes agricoles, des guerres, etc... qui rendirent inhabitables ces régions. Morley pense que l'épuisement des terres a poussé les populations vers le Nord ; Thompson, au contraire, penche plutôt vers une prédominance de la vie paysanne au détriment de la vie religieuse ; d'autres voient dans cette destruction la main olmeco-toltèque qui, en pénétrant le long de l'Usumacinta vers 895, aurait assujetti cette culture en repoussant ses restes vers le Yucatan. Que ce soit pour une raison ou une autre, le fait est qu'au Xe siècle la jungle commença à envahir les vieilles cités.

Si quelques uns persistèrent dans ces cités, c'étaient des paysans, peu religieux, qui laissèrent des restes de poteries, mais qui jamais n'érigèrent de stèles ni de palais. Quand Hernan Cortes traversa l'aire de l'Ancien Empire, dans le bassin de l'Usumacinta comme dans le Peten, les cités mayas avaient été abandonnées depuis longtemps et il n'en restait aucun souvenir.

Le fameux mystère maya, c'est la raison pour laquelle cette civilisation à disparu. Si l'on prend nos équivalents occidentaux, certaines civilisations ont été anéanties par d'autres, mais dans ce cas, on retrouve toujours une trace du vainqueur, et les Toltèques ne sont jamais allé jusqu'au Yacatan... Alors pourquoi ce déclin, cet abandon... Qu'est ce qui a anéanti cette civilisation... La décadence ? L'appauvrissement des terres ? Ou autre chose ? Une chose bien plus sinistre...

Le nouvel empire

Au Xe siècle la culture maya est entrée dans une période sombre et de silence. Pas une stèle avec une quelconque inscription et très peu de palais et de temples sont érigés. Le Moyen Age, l'âge ténébreux de l'art maya, correspond à de grands mouvements migratoires vers le Yucatán.

Au VIIe siècle la colonisation a atteint le centre de la péninsule : Coba, en 613, et Etzna. Le Chilam Balam de Chumayel fait allusion à la dispersion Maya sur la côte caraïbe et de son nouveau centre, Cozumel. Les Itzas apparaissent pour la première fois à Chichen Itza en 711. Les Itzas étaient ce que l'on appelait "hommes sacrés". "Les indiens racontent que beaucoup de personnes venant du sud arrivèrent au Yucatán avec leurs Seigneurs, et ils semblaient arriver du Chiapas...". A Chichen Itza, ils résidèrent jusqu'en 928, année où la ville fut abandonnée.

A cette époque, une nouvelle famille entre en scène dans le Yucatán : Les Tutul Xiu. Ils partent pour Chichen Itza, lieu qu'ils trouvent abandonné en 1027. Ils y resteront 120 années, au bout desquelles ils marcheront vers Champoton, habitée par les Itzas, et "Champoton fut détruite". Ils errèrent encore dans la péninsule "à la recherche de leur foyer et vécurent plusieurs époques dans les montagnes inhabitées", pour enfin d'installer en 1263 à Uxmal. Entre temps, les Itzas, qui vivaient aussi "sous les arbres, sous la cendre, dans la misère", revinrent à Chichen Itza pour s'y établir définitivement.

Le Moyen Age est passé et la Renaissance est proche. De nouvelles et plus belles constructions sont érigées. Cette architecture était emprunte d'une nouvelle influence, énergique, étrangère, d'origine Mexicaine.

Les Toltèques émigrèrent et, une fois arrivés dans le Yucatán, influencèrent de façon bénéfique Mayapan, Chichen, Uxmal, Sayil, etc... ; mais c'est à Chichen Itza qu'ils s'établirent, d'abord comme mercenaires, puis comme conquérants. Leur adresse dans le maniement des arcs et des flèches, leur donna une incontestable supériorité sur les Mayas. Tozze soutient que certaines plaques en or et que les peintures de Chichen Itza immortalisent l'occupation toltèque de cette cité. C'est à cette époque que furent érigés les plus beaux édifices de Chichen Itza : le Caracol, le Castillo, le Temple des Guerriers, le Jeu de Pelote, le Tzompantli, la Maison des Aigles, l'Ossuaire, le Temple de Chac Mool, etc...

Mais la Renaissance, durant laquelle l'ensemble du Yucatán et du Campeche va se couvrir de temples et de palais, va s'interrompre vers le milieu du XVe siècle quand l'équilibre instauré par la ligue de Mayapan se brisa. Une fois encore la culture maya interrompt son cycle évolutif, mais cette fois-ci pour ne jamais renaître.

Les Tutul Xiu de Uxmal et les Itza de Chichen Itza se lancèrent dans la guerre contre la famille Cocom de Mayapan, gouvernée par Huanac Ceel. Au début la chance sourit aux Cocom grâce à l'aide de ceux de Xicalanco, mais après trente quatre ans de lutte, Mayapan fut détruite, toute la famille Cocom assassinée, sauf le fils de Huanac Ceel qui était en voyage. Le Chilam Balam de Chumayel raconte que : "la terre de Mayapan, la fortifiée, fut conquise par les Itza, qui avaient été expulsés de leurs maisons par ceux d'Izamal, à cause de Huanac Ceel". Seuls les mercenaires toltèques furent épargnés, mais Mayapan fut abandonnée et la famille Cocom disparut de la scène.

Les descendants des derniers Cocom n'oublièrent jamais de rappeler aux Tutul Xiu leurs origines étrangères, se déclarant comme les représentants purs de l'illustre famille maya : "Etrangers et traîtres - raconte le Chilam Balam - qui tuèrent leur principal seigneur (Huanac Ceel) en lui volant sa demeure". La destruction de Mayapan survint soixante ans avant l'arrivée des Espagnols ; c'est à dire, si nous prenons comme point de départ l'année de la conquête de Mexico, en 1461. Cependant, après la chute de Mayapan, vingt années de prospérité et d'abondance suivirent, au bout desquelles un nouveau désastre vint s'abattre sur le Yucatán : un ouragan dévasta la péninsule, puis s'ensuivit une période de calme avant que la peste et de nouvelles guerres intestines eurent raison de la culture maya.

Quand les Espagnols arrivèrent au Yucatán , il ne restait plus un seul empire pour veiller, seulement quelques tribus barbares qui erraient dans la péninsule. Quand les Espagnols de Montejo achevèrent la conquête en 1539, la culture maya s'était éteinte définitivement depuis quelques années.

Comment utiliser les Mayas dans L'appel de Cthulhu

Vous avouerez qu'une histoire aussi riche ne peut laisser personne indifférent. Vous allez aussi me dire que le coup du temple perdu dans la jungle, y'en a déjà pas mal qui l'on fait avant... Peut être, mais il y a des façons particulièrement efficaces d'aborder les choses... Voici donc une petite liste de questions dont la réponse vous titillera peut être...

  • Quelle est la cause réelle du premier effondrement ? ? ? Une des raisons classiques, en sachant que de toute façon un nouvel empire à pu naître à cet endroit ?
  • "Les indiens racontent que beaucoup de personnes venant du sud arrivèrent au Yucatán avec leurs Seigneurs.."... No comment...
  • Pourquoi la date de départ de leur calendrier est -3133 ?
  • A la toute fin de l'empire, une série de catastrophes s'abattent sur l'empire : un ouragan, une épidémie, des guerres... Ca fait beaucoup...
  • A peine soixante ans plus tard, il ne reste que des ruines... C'est rapide comme destruction, très rapide...
  • Les indiens des années vingt continuent à pratiquer le culte de leurs ancêtres, et à faire des sacrifices, même si ils ne sont plus humains... Officiellement du moins... Quelle tradition orale se sont-ils transmis ? Pourquoi sont-ils restés dans ces jungles hostiles plutôt que directement dans les anciennes citées ?
30 juillet 2006

MU le mystère

MU : La Lémurie

MU LA LEMURIE

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Une civilisation supposée avoir existé avant et en même temps que l'Atlantide
A l'apogée de sa civilisation, les lémuriens étaient hautement évolués et d'une grande spiritualité.

Mu, aurait été englouti par une éruption volcanique. Les survivants auraient alors fondé la civilisation Maya.

A l'apogée de sa civilisation, les lémuriens étaient hautement évolués et d'une grande spiritualité. Ce continent légendaire aurait sombré dans l'Océan. Les survivants purent se réfugier dans les colonies de Mu. Malheureusement, il est très difficile de trouver une preuve concrète de son existence.

En 1926, le colonel James Churchward, américain, d'origine anglaise, fit sensation en publiant son 1er livre : "Le continent perdu de Mu." Il affirmait que des tablettes découvertes en Inde et au Mexique, rédigées dans le langage de Mu qu'un vieux prêtre d'Asie lui avait appris à déchiffrer, confirmaient que ce continent avait été la source de toute civilisation, avant même l'Atlantide. Après avoir quitté l'Inde, Churchward chercha d'autres preuves concrètes de l'existence de Mu, au Tibet, en Égypte, en Nouvelle Zélande et à l'île de Pâques. Il raconta avoir trouvé de nombreux textes gravés dans la langue sacrée de Mu. Malheureusement, personne d'autre n'a jamais vu ces plaquettes et le doute subsiste toujours sur les découvertes et les dires de Churchward.

De toutes les contrées mythiques qui ont enflammé l'imagination de générations de curieux, l'Atlantide demeure sans aucun doute la plus célèbre. Successivement placée à hauteur des Açores, au cœur de la mer Egée ou sur les rivages de la mer du Nord, l'île fabuleuse décrite par Platon dans le Critias et le Timée correspond certainement à une réalité historique, qui demeure difficile à cerner mais n’en apparaît pas moins indiscutable. Cette patrie originelle de la civilisation dont les auteurs les plus divers ont fait la mère de toutes les cultures supérieures qui se sont développées sur la planète, de l'ancienne Egypte à l'Inde aryenne et à 1'Amérique précolombienne, fut cependant précédée, affirment certains, par un autre monde dont ne subsistent plus aujourd'hui que quelques vestiges épars, compréhensibles seulement par les spécialistes de l'espace océanien.

Douze mille ans avant l'ère chrétienne ( -12000 ), un gigantesque continent se serait englouti dans les profondeurs du Pacifique : c'est sur cette terre que prospérait l'empire de Mu dont les habitants, essaimant vers la Birmanie, l'Inde, le Mexique, la Mésopotamie et l'Egypte, devaient ensuite jeter les fondements de toutes les grandes civilisations historiques, 1'Atlantide ne jouant qu'un rôle de relais dans cette gigantesque aventure.

Quels sont les éléments ou les informations qui permettent à certains savants de considérer aujourd'hui l'existence de Mu comme une probabilité qu’il est impossible d'écarter a priori? Peut-on espérer que de nouvelles découvertes vont venir confirmer les fantastiques intuitions de James Churchward et de Louis Claude Vincent, les deux pionniers de l'histoire muenne? Comment expliquer la disparition catastrophique de ce monde fabuleux qui fut sans doute, de nombreux faits permettent de l’affirmer, la terre où se constituèrent les plus hautes traditions spirituelles de l'humanité ?

De nombreux vestiges restent encore à mettre au jour et l'archéologie des îles océaniennes n'en est qu'à ses balbutiements ; certains textes précolombiens ou indiens doivent être complètement réinterprétés pour faire avancer davantage notre connaissance de Mu, mais il est d'ores et déjà possible d'établir une synthèse de tous les faits qui montrent à l'évidence que cette terre paradisiaque, vouée au culte du dieu Soleil, eut une existence historique bien réelle, dont le souvenir s'est conservé dans de nombreux documents et dont les archéologues commencent a redécouvrir les vestiges.

A défaut d'un continent dont l'existence pouvait être vérifiée quelque part dans les latitudes moyennes de l'hémisphère Sud, certains esprits imaginèrent alors qu'il avait été englouti à la suite d'une catastrophe naturelle. Dès 1778, un compagnon de Cook, le théologien Johann Reinhold Forster, affirmait dans ses Observations que les îles hautes de la Polynésie sont les restes d'un continent submergé, qui anciennement aurait communiqué avec 1'Asie et en aurait alors tiré sa population; ce continent aurait disparu en s'affaissant.

Dans son Mémoire sur les îles du Grand Océan de 1834, Dumont d'Urville suppose “ qu'un continent ou une grande île comme l'Australie dut jadis occuper une partie de l'Océanie habitée par un peuple dont les tribus polynésiennes ne sont que des débris échappés à quelque grande convulsion du globe ”. A partir de la seconde moitié du XIXè siècle, de nombreux auteurs évoquent l'Océanide, soeur lointaine de l'Atlantide de Platon, engloutie comme elle sous les eaux marines. Cette hypothèse est cependant loin de faire l'unanimité et de nombreux savants, notamment des géologues, affirment qu'il n'existe aucune preuve permettant d'imaginer un tel cataclysme.

En 1934, l'un des compagnons d'Alfred Métraux, lors d'une expédition à l'île de Pâques, peut écrire que rien ne permet d'avancer “ que l'île de Pâques ait été jadis beaucoup plus grande qu'elle n'est aujourd'hui, ou qu'un archipel situé dans ses environs ait disparu. L'hypothèse d'un continent Pacifique, d'une Lémurie, soeur de l'Atlantide, doit être définitivement écartée ”...

Cette vue des choses est peut-être excessive et certains géophysiciens sont aujourd’hui plus nuancés. Le Pacifique a connu, c'est incontestable, d'importants bouleversements géologiques : la ceinture de feu qui l'entoure en demeure le témoignage le plus évident. Mais ceux-ci remontent à l'ère tertiaire, à plusieurs dizaines de millions d'années, c'est-à-dire à des époques beaucoup trop reculées pour avoir connu la présence humaine.

LES DOCUMENTS DE MU

Tablettes naacales - Codex troano - Tablettes du Mexique - Papyrus
Les tenants de l'existence du continent Pacifique entreprirent une approche toute différente du problème et préférèrent fonder leurs théories sur l'interprétation de certains documents et de certaines traditions, négligeant un peu, il faut le reconnaître, les réalités géologiques.

Celui que l'on considère a juste titre comme le pionnier de toutes les recherches relatives à Mu, puisque c'est ce nom qui aurait désigné la terre australe originelle, est le colonel James Churchward, auteur de cinq ouvrages consacrés a cette question : The lost continent of Mu (1926), The children of Mu (1931), The sacred symbols of Mu (1933), The Cosmic Forces of Mu (1934) et The Second Book of the Cosmic Forces of Mu (1935). En 1874 il rencontra un grand prêtre indigène qui lui fit découvrir, à travers certaines tablettes anciennes, l'existence passée du continent de Mu. Il participa ensuite à une expédition au Tibet et, un peu plus tard, a une autre entreprise de cet ordre en Mongolie et en Sibérie.

Après avoir passé trente ans dans l'armée des Indes, il continua à parcourir le continent asiatique et voyagea également en Amérique centrale et dans le Pacifique, avant de se retirer aux États-Unis, où il mourut à l'âge de quatre-vingt-six ans.
Selon Churchward, c'est à l'occasion d'une famine qui ravagea l'Inde, en 1874, qu'il fit la connaissance de celui qui allait l'amener à s'intéresser à Mu. Il nous rapporte qu’il s'intéressait beaucoup a l'archéologie et aux anciens écrits et qu'il était plus savant en ce domaine qu'aucun autre homme vivant. Quand il vit un jour que j'essayais de déchiffrer un curieux bas-relief, il s'intéressa à moi, et ce fut une des plus sincères amitiés que j'eus le bonheur de connaître. Il me montra comment résoudre le mystère de ce bas-relief et proposa de me donner des leçons qui me permettraient de m'attaquer à un travail plus ardu.

Les tablettes naacales

Le grand prêtre en question allait apprendre au jeune officier, dont l'intérêt pour l'archéologie avait attiré son attention, la langue “ originelle ” de l'humanité, comprise seulement par lui-même et deux autres grands initiés, derniers représentants d'une secte, les Naacals, dont l'origine aurait été contemporaine de l'engloutissement de Mu.

Après deux années de travail qui lui permirent de déchiffrer un certain nombre d'inscriptions mystérieuses retrouvées sur les parois de certains temples, le jeune Churchward eut l'extrême privilège d'être amené à contempler des tablettes sacrées qui, selon son maître, avaient été apportées de Birmanie, où elles auraient été écrites par les Naacals, héritiers des anciennes connaissances muennes.

Ces documents exceptionnels racontaient la création de la Terre et de l'Homme et évoquaient le continent originel où était apparu ce dernier : ce vaste monde, situé en plein cœur de l'océan Pacifique, avait été englouti douze mille ans plus tôt, a la suite d'un gigantesque cataclysme marqué par des séismes, des raz de marée et des éruptions volcaniques.

Cette révélation devait désormais orienter de manière définitive la vie et les recherches de Churchward, qui s'efforça de retrouver sur toute la surface du globe les documents ou les vestiges permettant de confirmer ce que rapportaient les tablettes qui lui avaient été ainsi présentées. Churchward avait-il vraiment renoué avec une civilisation oubliée? Après lui, d'autres chercheurs allaient tenter d'étayer ses hypothèses sur l'existence de Mu.

Codex Troano

Avant les révélations sur Mu faites au colonel Churchward par le grand prêtre naacal, un autre chercheur, l'abbé Charles Étienne Brasseur de Bourbourg, éminent spécialiste de l'Amérique centrale, avait eu connaissance de l'existence de Mu et avait même été le premier qui en ait repéré le nom. cet auteur s'est attaqué a la traduction d'un document maya appelé le Codex Troano, dans lequel se trouvait également évoqué le cataclysme qui avait englouti le continent de Mu, dont le nom apparaissait pour la première fois sans que l'on puisse affirmer si c'était bien celui que lui donnaient ses habitants.

Les 2500 tablettes en pierre du Mexique

L'américaniste Le Plongeon traduisit de nouveau ce texte et confirma les données apportées par Brasseur en précisant que 64 millions d'habitants avaient péri lors de la grande catastrophe.

De nouvelles découvertes permirent de compléter bientôt ces premières données, ainsi que nous l'explique Churchward : “Toutes mes affirmations sont fondées sur la traduction de deux séries de tablettes anciennes. Il y a les tablettes naacales, découvertes par moi il y a de nombreuses années aux Indes, et une importante collection de tablettes en pierre, plus de deux mille cinq cents, découvertes récemment au Mexique par William Niven. Ces deux séries de tablettes ont la même origine. Car chaque série est composée d'extraits des écritures inspirées et sacrées de Mu”.

Churchward rencontra en effet Niven, qui avait découvert en 1924 cet ensemble impressionnant de tablettes, dont l'écriture rappelait celle des documents naacals consultés aux Indes. Il put traduire ces textes, très différents de tout ce qui avait été trouvé jusque là en Amérique centrale, et obtint ainsi de nouveaux renseignements relatifs à l'histoire et a la disparition de Mu.

Les affirmations de Churchward ont fait l'objet de très vives réserves, principalement dues au fait qu'il demeure très évasif quant à l'origine de ses sources. Nul ne sait de quel temple il a tiré les fameuses tablettes naacales et il reste très imprécis quand il évoque son voyage au Tibet occidental, au cours duquel des lamas lui auraient présenté une carte de l'ancien continent de Mu, dont il évalue l'âge à vingt mille ans.

Ces critiques ne doivent pas remettre automatiquement en question l'ensemble de son travail; la découverte, en 1959, de rouleaux de papyrus remontant à près de vingt mille ans sur le site fouillé jadis par Niven vint confirmer, vingt-trois ans après la mort du pionnier, les intuitions qu'il avait eues à propos de Mu, baptisé Muror sur ces nouveaux documents; la traduction de ces rouleaux ne fut terminée qu'en 1964. Due au professeur R. Hurdlop, cette découverte exceptionnelle peut être comparée, pour son importance, à celle des manuscrits de la mer Morte, dans la mesure où elle va permettre de jeter un regard complètement nouveau sur les origines de l'ancien Mexique et sur ses rapports avec les “ Terres de l'Ouest ”, dont il est très clairement question dans ces nouveaux documents. L'étude des diverses sources auxquelles il avait pu avoir accès avait amené Churchward à un certain nombre de conclusions très précises quant a ce qu'avait été Mu.

DESCRIPTION DE MU

Ce continent s'étendait sur 5 000 km du nord au sud, depuis les Hawaii, qui marquent encore aujourd'hui son extrémité septentrionale, jusqu'à une ligne joignant l'île de Pâques aux îles Fidji. D'est en ouest, il s'étendait sur 8 000 km : il était formé de trois terres séparées par d'étroits chenaux, selon la carte étudiée au Tibet, tout au moins.

Ce vaste ensemble se présentait comme une immense plaine vallonnée au climat tropical et a la végétation luxuriante. Ce paradis originel était fertile et propice à toutes les cultures. Des villes importantes regroupaient une population nombreuse, évaluée à plus de 60 millions d'habitants au moment de la catastrophe. Mu était véritablement le centre de toute civilisation et les autres foyers de culture n'étaient que ses colonies.

Les habitants étaient divisés en dix tribus et se consacraient à l'agriculture, à la navigation et au commerce. Tous adoraient le Soleil et croyaient à l'immortalité de l'âme.

Le peuple dominant était de race blanche, avec des yeux sombres et des cheveux noirs. L'hégémonie qu'il exerçait sur les autres peuples noirs ou jaunes était des plus bienveillantes, sauvagerie et violence étant bien sûr absentes de cet éden enchanteur.
C'est ce magnifique ensemble, porteur de la civilisation la plus ancienne qu'ait connue notre planète, qui fut rayé de la carte du monde par une série d'éruptions volcaniques et de raz de marée gigantesques, lesquels firent de ce vaste continent la poussière d'archipels que l'on rencontre aujourd'hui au cœur de l'immensité du Pacifique.

Routes, cités et temples furent engloutis dans les profondeurs, et les rares rescapés, incapables de survivre dans un état de sauvagerie à peu prés total, réduits au cannibalisme, disparurent rapidement, sans pouvoir s'adapter a de nouvelles conditions de vie, par trop différentes de celles que leur avait garanties pendant des millénaires une civilisation supérieure.

Le souvenir du continent disparu se perdit ainsi progressivement, et seules quelques populations qui avaient été en contact avec lui purent transmettre, par l'intermédiaire de sectes d'initiés telles que celle des Naacals, les traditions et le langage de la civilisation muenne.

De nombreux textes, surtout dans l'aire de la civilisation mexicaine précolombienne, semblent confirmer ce scénario effrayant, et Churchward ainsi que Louis-Claude Vincent, son continuateur actuel, les ont soigneusement recensés, mais il est toujours possible de donner une interprétation purement symbolique de telle ou telle description d'une catastrophe. Il va de soi que la découverte de vestiges archéologiques présente plus de crédibilité et peut conforter solidement les assertions des tenants de l'existence passée de Mu.

SITES ARCHEOLOGIQUES

De nombreuses ruines viennent confirmer, à travers les îles du Pacifique, la floraison passée d'une haute civilisation. L'île de Pâques et ses statues constituent sans conteste les vestiges les plus connus et les plus spectaculaires : elles sont au nombre de cinq cent cinquante, constructions cyclopéennes dont l'origine demeure aujourd'hui inexpliquée malgré les tentatives faites en ce sens par les savants officiels depuis plusieurs décennies.

Ces constructions colossales ne sont pas les seules qui aient été reconnues sur ce modeste îlot de 118 km2 : un grand temple et des terrasses de pierre imposantes traduisent l'importance d'une activité que l'on ne peut sérieusement attribuer aux Pascuans, découverts par Roggeveen au XVIIIè siècle.

Plusieurs tablettes qui ont été déchiffrées révèlent que “ quand cette île a été créée et a été connue de nos ancêtres, la terre était traversée de belles routes pavées de pierres plates. Ces pierres étaient si parfaitement jointes et posées qu'on ne voyait pas les bords... ” et, par ailleurs, que “ cette petite île faisait partie jadis d'un vaste continent traversé par des routes merveilleusement pavées de belles pierres plates ”.

Dans l'archipel Cook, on trouve sur les îles Rarotonga et Mangaia des vestiges de routes, sur des terres où ne se trouve aucune carrière de pierre, ce qui implique que les matériaux utilisés sont venus d'ailleurs.

Un autre vestige étonnant est le portique de pierre de Tongatabu, simple atoll corallien, où la pierre est naturellement absente et où nous trouvons un monument formé de trois monolithes imposants, pesant respectivement 70 t pour les deux premiers et 25 t pour celui qui est posé dessus. Ces pierres ne peuvent venir que d'un point se trouvant à plus de 200 milles, et ce que nous savons des navigations polynésiennes exclut que l'on puisse imaginer un transport de ce type sur de pareilles distances...

Les îles Carolines sont particulièrement riches sur le plan archéologique et il est troublant que les tablettes naacales aient justement situé dans leurs parages les premières approches du territoire muen. Le temple de Panape constitue I'ensemble le plus remarquable par ses dimensions et par l'importance des infrastructures telles que routes ou canaux, dont les vestiges sont visibles autour. Par leurs dimensions, les ruines de Panape apparaissent comme celles de l'une des sept capitales auxquelles font allusion les textes relatifs à Mu.

Les ruines de Kusai sont de dimensions comparables, et les traditions indigènes évoquent très clairement le passé du “ peuple très puissant ” qui vivait là jadis.

Les ruines cyclopéennes de l'île de Lélé ne sont pas moins impressionnantes. De nombreuses pyramides de pierre, dont l'usage demeure un mystère, ont été découvertes dans les îles Gilbert et Marshall. De hautes colonnes sont les monuments les plus fréquemment répandus dans Ies Mariannes, à Guam et Tinian notamment.

D'autres ruines sont visibles dans l'archipel des Hawaii et dans celui des Marquises, alors que diverses traditions orales montrent que le souvenir du continent perdu persistait également chez les Maoris de Nouvelle- Zélande; de la même manière, Churchward pense que certaines peintures rupestres d'australie, qui traduisent un degré d'évolution culturelle déjà élevé, ne peuvent être attribuées aux aborigènes très primitifs qui peuplaient la grande île lors de l'arrivée des Européens.

Tous ces éléments ont amené Churchward, mais aussi de nombreux ethnologues qui sont loin de le suivre dans toutes ses conclusions, à penser qu'il avait existé une civilisation océanienne unique dont tous ces vestiges témoignent encore aujourd'hui.

Si l'on admet l'existence de 'ancien continent qui occupait le centre de l'océan Pacifique, il convient d'apporter une réponse à la question que pose sa brutale disparition. L'un des spécialistes de l'Atlantide, le colonel A. Braghine, a formulé l'hypothèse selon laquelle un corps céleste vint frapper la Terre dans le Pacifique il y a environ douze mille ans, ce qui aurait entraîné des bouleversements géologiques considérables et déplacé l'axe de notre planète. On sait l'importance des chutes de météorites survenues a l'époque historique : le cratère de Coon Butte, en Arizona, à 1200 m de diamètre, la météorite qui s'est abattue en 1908 dans la taïga de la Toungouska a tout calciné dans un rayon de 20 km autour de son point d'impact et, dans la mesure où de nombreuses sources antiques, notamment égyptiennes et précolombiennes, évoquent un cataclysme de ce type, on peut imaginer qu'il a pu se produire et entraîner la disparition de Mu, la patrie originelle de l'Humanité.

La ceinture de feu qui entoure le Pacifique ne serait que la gigantesque cicatrice marquant les limites d'une formidable collision remontant à douze mille ans. Le débat demeure ouvert quant à la réalité historique de Mu : si celle-ci est admise, on imagine le nombre de questions auxquelles il faudra alors répondre ! Les éléments disponibles sont moins nombreux que ceux qui militent en faveur de la réalité de l'Atlantide. Mais il reste sans doute beaucoup à découvrir dans les archipels des mers du Sud

Des rouleaux de papyrus remontant a près de vingt mille ans

10 juin 2006

une de mes sagas preferes de ma jeunesse: mon premier manga qui me fit devenir un kidulte

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5 juin 2006

une de mes sagas preferes

et oui le raf qui a tant voyagé connu tant e filles, tant fait le con pour finir par faire ses hauytes etudes s'est beaucoup reconnu dans Xavier...

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5 juin 2006

désolé les gars, ptdr

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4 juin 2006

Mon poème préféré, de papa et qui etait accroché a ma porte en prépa HEC

Tu seras un homme, mon fils.

Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie
Et, sans dire un seul mot te remettre à bâtir
Ou perdre d'un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir.

Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre,
et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre.

Si tu peux supporter d'entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter les sôts,
Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d'un mot.

Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frères
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi.

Si tu sais méditer, observer et connaître,
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, sans laisser ton rêve être ton maître
Penser, sans n'être qu'un penseur.

Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu peux être bon, si tu sais être sage,
Sans être moral ni pédant.

Si tu peux rencontrer triomphe après défaite
Et recevoir ces deux menteurs d'un même front.
Si tu peux conserver ton courage et ta tête,
Quand tous les autres la perdront.

Alors, les rois, les dieux, la chance et la victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis,
Et, ce qui vaut mieux que les rois et la gloire,

Tu seras un homme, mon fils.

Rudyard Kipling

2 juin 2006

Les corbeaux en 2006

corbeaux

1 juin 2006

Football: les Colombiens n'avaient pas de chaussures, pas d'entraînement

NEUSS (AFP) - jeudi 1 juin 2006 - L'équipe de football de Colombie, non qualifiée pour le Mondial-2006 mais adversaire vendredi de l'Allemagne en match amical, a dû renoncer à s'entraîner, après son arrivée à Neuss, en raison de l'absence des chaussures de sport des joueurs.

Les Colombiens sont arrivés mercredi soir à Neuss, venant de Pologne où, en match amical à Chorzow, ils avaient battu 2-1 les Polonais, adversaires de l'Allemagne dans le groupe A de la Coupe du monde, qui durera du 9 juin au 9 juillet.

De Pologne jusqu'en Allemagne, les chaussures de sport des joueurs se sont égarées, ce qui a obligé l'encadrement de l'équipe colombienne à annuler la séance d'entraînement initialement prévue mercredi soir au stade de Neuss.

La Colombie jouera contre l'Allemagne vendredi à Mönchengladbach (ouest).

31 mai 2006

UN HOTEL POUR AUREL STEF ET LES FEMMES EN GENERAL

LONDRES (AFP) - mercredi 31 mai 2006 - Un hôtel anglais de luxe a décidé d'offrir des séjours "sans football" aux femmes qui souhaitent échapper quelques jours à la folie de la Coupe du monde, une initiative qui lui a valu d'être apparemment inondé d'appels.

Situé dans le Lake District (nord-ouest de l'Angleterre), le Linthwaite Hotel est traditionnellement un lieu de séjour romantique. Pour répondre aux femmes allergiques à la frénésie footbalistique qui va s'emparer de l'Angleterre le 9 juin, une "tolérance zéro" concernant tout ce qui touche au foot y a été décidée dès le début de la Coupe du Monde.

Même le mot sera banni. Toute cliente qui entendrait des membres du personnel évoquer le ballon rond pourra "sortir son carton rouge et recevra immédiatement une coupe de champagne", a promis l'hôtel.

La responsable de l'établissement, Claire Davenport, a indiqué mercredi que le téléphone sonnait sans arrêt.

D'autant que les clientes y seront gâtées: en arrivant, elles se verront offrir un panier contenant des chocolats et une demi-bouteille de champagne. Elles pourront également se faire masser, s'offrir pédicure et Manucure... Enfin, elles pourront également regarder en toute quiétude des films résolument romantiques, pendant que leur petit-ami/concubin/mari regarde loin de là avec des copains les matchs à la télévision.

Un calme qui a un prix, fixé à 238 livres (350 euros) minimum par nuit la chambre double. Mais les clientes intéressées se verront offrir trois nuits pour le prix de deux.

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Lorsque vous posez un caméléon sur du tissu écossais, il vous fait un bras d'honneur
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